Francois Beaurain

 

Ebolawood

Monrovia, 2016

En 2014, au Liberia, l’épidémie d’ebola a contribué à l’émergence d’une scène cinématographique favorisée par la fermeture des frontières qui a provoqué l’arrêt des importations de films pirates nigérians. Partout dans le pays, des personnes se sont improvisés acteurs, caméramans, réalisateurs. En l’espace d’un an, plusieurs centaines de films sont produits.

Liberia’s 2014 Ebola epidemic fostered the emergence of a homegrown film industry. The borders were closed, stopping imports of Nigerian pirate films. Across the country, ordinary people suddenly became actors, camera operators and directors. Hundreds of films were made in the space of a year.

music credit : Shadow

 

Some more :

- the CNN article with the story stold from me : Ebolawood

- my article about ebola and liberian cinema

- Night of the year, Rencontres photographiques d'Arles, 2020.